vendredi 23 mai 2008
L’esthétique de la souffrance
L’esthétique de la souffrance
Aujourd’hui on lui montre des heures étranges, inhabituelles, décalées aussi éclatées que la vallée des disjonctées. Jamais les repères s’incèrent au creux de la dynamique des sens. Aucun n’être l’encense. Voilà la solitude à son stade primaire. Ici la mère sans enfant. Ici le présent sans futur. Sans protubérance, sans gonflement de la terre, tu m’acceptes malgré l’amertume ?
texte de Raynald Gagné
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