mardi 10 avril 2007

La petite histoire d’une grande aventure : «L’ERRANCE RAYNALDIENNE»

Au départ, «l’errance raynaldienne» demeura une proposition de Marjorie Champagne. Suite à des rencontres quotidiennes à l'aurore, à mon lieu de travail, pour se procurer les journaux afin de réaliser sa représentation du matin, la jeune animatrice s’aperçut rapidement de mon état mental précaire, mes élancées véhémentes, mon sens de l’humour et ma notion de la répartie. Promptement, elle m’offrit une chronique à son émission «sur le pouce». Dès ce moment, elle discerna, dans cette capsule d’une vingtaine de minutes, mon style corrosif et mes interventions tous azimuts sur des sujets aussi variés qu’éclatés.

Rapidement, ma présentation du vendredi qui se nomma «aux quatre coins des mots et des idées» annonça dans son stade embryonnaire, se qui alla devenir, cette folle aventure anarchiste de «l’errance raynaldienne».

Par la suite, le rôle d’animatrice qu'occupa Marjorie l’amena à accepter un autre poste dans la même boite radiophonique : «Directrice de la programmation». Elle ne fit ni une ni deux et me sollicita pour un projet plus important d’une durée de 120 minutes. Et me voilà maintenant...

À l’arrivée, si ma réponse s’avéra positive, cela résida simplement du fait qu’elle me fut proposée par la représentation balzacienne du genre humain : La femme. Je refuse, très rarement, une sollicitation délivrée par le sexe opposé. Cela remonte sûrement à mes lectures d’adolescent de Sade, de Henry Miller, de Charles Bukowski ou d'Anaïs Nin.

Pourquoi se le cacher... Tout tourne autour de l'univers des demois(aile)s... Et «L’ERRANCE RAYNALDIENNE» en résulte !

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