L'errance raynaldienne rend hommage à Gaston Fortin
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Pour paraphraser Nino Ferrer
Je dirai ceci :
« Gaston
Y’aura toujours
Le téléphone qui sonnera
Mais . . .
Tu ne sauras plus là
Pour y répondre ! »
J’ajouterai
Cette assertion avant de conclure :
« Tu me laisses tant
De souvenirs impérissables
Qui se logent
À jamais
Au cœur de mes pensées »
Raynald Gagné
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